Qui n'a jamais entendu parler de la Loi de Murphy ?
Cette fatalité qui veut que la caissière change immanquablement son rouleau de ticket au moment où c'est notre tour ; le fait de voir un produit être soldé le lendemain de l'achat d'un exemplaire ; oublier son parapluie le jour où un orage éclate ; un samedi soir se faire voler son sac à main contenant sa dernière plaquette de pilule ...
Tout le monde se trouve régulièrement confronté à ce genre de petit désagrément parfois énervants mais le plus souvent si anodins qu'ils ne peuvent être pris qu'avec philosophie, avec cette fameuse maxime :
*La loi de Murphy a encore frappé*
Oui, certaines fois, ce sont des peccadilles, de petites contrariétés ou retards qui font sourire... Et parfois ce qui amuse les autres est important pour celui qui le subit.
Que peut-il y avoir de surprenant au fait que ce phénomène se produise lors de la fameuse *Migration Overblog*, tant décriée par ses utilisateurs ? (En gros pour les non Overblogueurs, il s'agit de passer d'une plateforme qui allait très bien et satisfaisait tout le monde, à une plateforme moins performante sensée être une avancée car mettant l'accent sur les réseaux sociaux)...
Ainsi, il n'est pas rare de voir un internaute tenir plus d'un *journal* différent, auquel il tient à un degré divers.
Rien ne pouvant être parfait, sur lequel le bug se produira, et rendra impossible l'accès à l'administration ? Evidemment celui qui sera le plus précieux aux yeux de son propriétaire, cela ne serait pas drôle autrement !
Moralité de cette histoire : malgré ce désagrément, cela pourrait n'être qu'une anecdote
Si : le problème ne s'éternisait pas durant plus de 10 jours
Si : les innombrables appels au secours sur les forums, par contact ou même Twitter ne restaient pas lettres mortes
Si : les rares réponses du *Staff* ne répétaient pas en boucle des conseils totalement inadaptés à la situation, prouvant par là-même qu'ils n'ont pas pris le temps de se pencher sur le cas !
Bref... un nouveau client risque bien de quitter la barque Overblog... bien à contrecoeur, mais le mépris, ça va un moment